• Year of manufacture 
    2000
  • Chassis number 
    Z19EAGTROYLA12481
  • Lot number 
    143
  • Condition 
    Used
  • Location
    Switzerland
  • Exterior colour 
    Other

Description

Winner of the 2001 Lamborghini GTR Supertrophy series
2000 Lamborghini Diablo GTR
Chassis no. Z19EAGTROYLA12481

After 17 years in production, the legendary Countach was replaced by the Diablo, which on its arrival was the fastest, most advanced and most expensive Lamborghini ever built. The name 'Diablo' had been inspired by the world of bullfighting (the company's emblem is a fighting bull and founder Ferruccio Lamborghini was born under the Taurus star sign). The original Diablo of the 19th Century was a bull that is said to have fought the famous toreador, El Chicorro for several hours. Diablo is also Spanish for devil.
First exhibited publicly at Monaco in January 1990, the Diablo improved on its illustrious predecessor in every way, setting a new benchmark in supercar design. Nobody can have been surprised to learn that it had been styled by Marcello Gandini, the man responsible for the Lamborghini Miura and Countach, for the family resemblance was obvious. Typically Lamborghini, the Diablo was low, wide and aggressive, and retained the 'beetle wing' doors first seen on the Countach.

Beneath the skin there was a steel spaceframe chassis, developed from the Countach's, but constructed of square-section rather than round tubing and incorporating 'crumple zones' at front and rear. The use of carbon-fibre composite panels, first seen in the Countach Evoluzione model, was extended in the Diablo, which also featured revised suspension capable of accommodating the envisaged future developments of four-wheel drive and active suspension. Stretched to 5.7 litres for the Diablo, Lamborghini's 48-valve V12 engine gained fuel injection for the first time, producing its maximum of 492bhp at 7,000rpm. Of equal, if not greater significance, maximum torque went up to 428lb/ft, an improvement of 55% over the Countach. Catalytic converters were standard, enabling the reworked V12 to meet emissions requirements worldwide.

With more power and a lower drag coefficient than the Countach, the Diablo easily eclipsed its forebear, exceeding 200mph (322km/h) on test. More importantly, its acceleration and top speed figures were marginally better than those of the rival Ferrari F40. Although one of the world's most expensive cars, the Diablo was not a limited edition model like the latter but a series production car with a luxuriously appointed interior that reflected its designers' intention to produce a civilised Gran Turismo as suited to city streets and motorways as the racetrack.

Nevertheless, the factory would go on to produce a number of competition variants, the first of which – the Jota – was built at the behest of the Japan Lamborghini Owners Club. Only three were made, followed by two of the GT1 Stradale, before the factory got more serious with the Diablo SV-R. Launched at the 1996 Geneva Motor Show, the SV-R was created for a one-make racing series – the Lamborghini Supertrophy – rather than open competition with other manufacturers. After the required 28 cars had been built, the Supertrophy got under way as a support race for the 1996 Le Mans 24 Hours race and ran for four years.

Emboldened by the Diablo SV-R's success, Lamborghini took the plunge and built a car suitable for racing in the GT2 class. Based on the Diablo SV road car, the Diablo GT2 was powered by a de-tuned version of the Diablo GT1 Stradale's 6.0-litre V12 engine producing 600bhp. The interior was stripped out and fitted with an integral roll cage; a fire extinguishing system; and Plexiglas windows, while the running gear and bodywork were extensively modified to cope with the demands of racing, including the adoption of a large fixed rear wing. The GT2 project was scrapped when the Volkswagen Audi Group acquired Lamborghini in 1998.

For 2000, Lamborghini revived the concept of a one-make racing series, introducing the new Diablo GTR at the 1999 Bologna Motor Show. Based on the Diablo GT production model, the GTR featured all the usual track-focused modifications and was powered by a 6.0-litre V12 engine producing 590bhp. Production for the renamed Lamborghini GTR Supertrophy amounted to 30 complete cars plus several spare chassis for use in the event of accidents.
Number '11' of the 30 cars built, this Diablo GTR is finished in white with black Alcantara interior and has covered 21,350 kilometres. The engine, gearbox and clutch having been fully serviced at 21,200 kilometres, while the bodywork was restored between 2012 and 2014.

The Diablo has competed in the following series and events:

2000 Lamborghini GTR Supertrophy
2001 Lamborghini GTR Supertrophy (winning car of the Championship)
2002 Lamborghini GTR Supertrophy
2004 French GT Championship
2004 FIA GT Festival race in Bahrain
2008 GT 90s revival series (winning car at Dijon with Michel Mhitarian)
2009 GT 90s revival series (3rd place in the Championship)

Ready to race, this championship-winning car is not registered but is resident in Switzerland and comes with Swiss customs document 13/20.

Victorieuse du Lamborghini GTR Supertrophy en 2001
Lamborghini Diablo GTR 2000
Châssis n°Z19EAGTROYLA12481

• Numéro 11 sur les 30 construites
• Créée pour la compétition monotype Lamborghini GTR Supertrophy
• 21 350 kilomètres d'origine
• Entièrement révisée à 21 200 kilomètres
• Prête à courir

Après 17 années de production, la légendaire Countach cédait la place à la Diablo, qui, à sa présentation, était la plus rapide, la plus sophistiquée et la plus chère des Lamborghini jamais produites. Le nom de Diablo lui avait été donné en référence au monde de la tauromachie (l'emblème de la marque est un taureau de combat et Ferruccio Lamborghini était né sous le signe du taureau). Le vrai Diablo du 19e siècle était un taureau qui avait résisté, dit-on, au fameux toréador, El Chicorro pendant plusieurs heures. Diablo signifie également diable en espagnol.

Présentée pour la première fois en public à Monaco en janvier 1990, la Diablo était améliorée dans tous les domaines par rapport à son illustre devancière, devenant la référence en matière de supercar. Personne ne fut surpris d'apprendre qu'elle avait été dessinée par Marcello Gandini, le styliste qui avait déjà créé les Lamborghini Miura et Countach, l'air de famille étant indéniable. Typiquement Lamborghini, la Diablo était basse, large et agressive et reprenait les portes à ouverture en élytre déjà vues sur la Countach.

Sous la tôle, on trouvait un châssis à caisson hérité de la Countach, mais construit en tubes de section carrée plutôt que ronde et intégrant des zones déformables à l'avant et à l'arrière. L'utilisation de panneaux en fibre de carbone, vus pour la première fois sur la Countach Evoluzione, avait été repris sur la Diablo qui offrait également une suspension améliorée, conçue pour être compatible avec une future version à transmission intégrale et suspension active. Le V12 Lamborghini 48 soupapes porté à 5,7 litres sur la Diablo recevait pour la première fois une injection, développant 492 ch à 7 000 tr/min. Aussi important, sinon plus, le couple maximum grimpait à 59,5 mkg, 55% supérieur à celui de la Countach. Des pots catalytiques étaient montés en série, permettant au V12 modifié de répondre aux normes sur les émissions dans le monde entier.

Plus puissante avec un coefficient de trainée plus bas que la Countach, la Diablo éclipsait sans difficulté sa devancière, dépassant les 322 km/h lors des essais. Plus important encore, ses performances étaient un peu supérieures à celles de la Ferrari F40. Bien que figurant parmi les voitures les plus chères du monde, la Diablo n'était pas une série limitée comme ses ainées, mais une voiture de série, dotée d'un intérieur luxueusement équipé, démontrant l'intention de ses concepteurs d'offrir une Grand Tourisme civilisée, aussi à l'aise en ville et sur autoroutes que sur circuit.
Quoiqu'il en soit, l'usine allait construire un certain nombre de versions pour la compétition, la première - la Jota – avait été fabriquée à la demande du Lamborghini Owners Club du Japon. Il n'en fut construit que trois, suivies par deux GT1 Stradale, avant que l'usine ne prit les choses plus au sérieux avec la Diablo SV-R. Lancée salon de Genève de 1996, la SV-R avait été créée pour une compétition monotype - le Lamborghini GTR Supertrophy – plutôt que pour la compétition avec d'autres constructeurs. Après 28 voitures réalisées, le Supertrophy devint une épreuve d'ouverture pour les 24 Heures du Mans en 1996 et ce pendant quatre années.

Enhardi par le succès de la Diablo SV-R, Lamborghini sauta le pas et construisit une voiture appropriée pour la catégorie GT2. Reprenant comme base la Diablo SV de série, la Diablo GT2 recevait une version assagie du V12 6 litres de la Diablo GT1 de route développant 600 ch. L'intérieur était dépouillé et doté d'une structure anti-retournement intégrale, d'un extincteur et de fenêtres en Plexiglas, tandis que les trains roulants et la carrosserie étaient profondément modifiés pour répondre aux exigences de la course, incluant l'adoption d'un grand aileron arrière. Le projet GT2 fut abandonné quand le groupe Volkswagen Audi racheta Lamborghini en 1998.
En 2000, Lamborghini ressuscita le concept de la course monotype en présentant la nouvelle Diablo GTR au salon de Bologne en 1999. Reprenant comme base la Diablo GT de série, la GTR recevait les habituelles modifications pour courir sur circuit et le V12 6 litres de 590 ch. La production de la Lamborghini GTR Supertrophy rebaptisée atteignit 30 exemplaires plus quelques châssis de rechange en cas d'accident.

Numéro 11 sur les 30 construites, cette Diablo GTR est blanche avec intérieur en Alcantara noir et a parcouru 21 350 kilomètres. Le moteur, la boîte et l'embrayage ont été entièrement révisés à 21 200 kilomètres, tandis que la carrosserie a été restaurée entre 2012 et 2014.

La Diablo a couru dans les épreuves suivantes :

2000 Lamborghini GTR Supertrophy
2001 Lamborghini GTR Supertrophy (victorieuse du championnat)
2002 Lamborghini GTR Supertrophy
2004 Championnat de France GT
2004 Festival FIA GT du Bahreïn
2008 GT 90 Revival (victorieuse à Dijon avec Michel Mhitarian)
2009 GT 90 Revival (3e place du championnat)

Prête à courir, cette championne n'est pas immatriculée mais réside en Suisse et sera vendue avec ses papiers 13/20 des douanes suisses.


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